Nous avons le devoir d'écouter, dans la concertation et la recherche du compromis, les principaux intéressés. Nous l'avons fait. Nous avons consulté le conseil national des associations de jeunesse et d'éducation populaire. Après ces délibérations, son président nous a envoyé un message nous appelant à ne pas retenir, j'en suis navré pour elle, l'amendement de Claude Greff pour en rester au compromis auquel nous étions parvenus après le débat au Sénat, la réécriture de l'article L. 120-1 A, et le vote de la commission. La sagesse nous commande d'en rester là. Il ne s'agit pas là d'un abandon de nos convictions, encore moins d'une compromission, mais à un moment ou un autre, il faut choisir une solution qui convienne au plus grand nombre. Je crois que c'est le cas.