et les banques françaises, comme d'autres en Europe, ont été très largement victimes d'un certain nombre d'agissements tolérés par le système de supervision américain et encouragés par des mécanismes en vigueur aux États-Unis.
De surcroît, en dépit de tout le respect que l'on peut avoir pour le Président Obama, la partie variable de la rémunération des opérateurs de marché est-elle taxée aux États-Unis ? Absolument pas ! Le plan Obama prévoit, premièrement, le remboursement de la perte sèche subie par le contribuable américain au titre du plan de sauvetage des banques en quasi-faillite. Ce n'est pas du tout le cas en France.