D'autre part, c'est une personnalité qui, comme il l'a dit lui-même, n'attend plus de la vie politique, ce qui lui procure une certaine détente vis-à-vis des appels téléphoniques qu'il reçoit s'agissant de projets d'investissement. Pour cette responsabilité, il fallait un « jeune retraité » – c'est ainsi qu'il se définit –, à la carrière accomplie, qui sache séparer le bon grain de l'ivraie. Et lorsque 35 milliards d'euros de dépenses sont en jeu pour l'avenir, il est indispensable de savoir le faire.