Nous sommes forcément interpellés. La surveillance des filières d'immigration clandestine fait bien entendu partie de notre activité mais nous ne sommes pas infaillibles et le cas des réfugiés kurdes en est la preuve. À propos des ces réfugiés, j'ai entendu beaucoup d'approximations : on les a présentés comme des apatrides ; or ils ont bien une nationalité, qu'elle soit syrienne, irakienne, iranienne ou turque notamment.