Deux ans après son entrée en vigueur, la loi a donc largement répondu aux objectifs du législateur : prévenir les conflits et organiser les services de transports terrestres en cas de grève, sans entraver l'exercice de ce droit légitime.
C'est le même esprit qui a présidé à la mise en place du service minimum d'accueil à l'école primaire.