…et l'autre traitant de l'organisation du service en cas de grève ou d'autres perturbations prévisibles du trafic.
Comme je l'ai indiqué précédemment, des éléments positifs ont – bien heureusement – résulté de la promulgation de cette loi. Reconnaissons tout de même que l'instauration de ce service minimum, voulu par le Président de la République, a limité les perturbations et a surtout garanti la mise en place d'un service minimum dans les transports aux heures de pointe. Rappelons qu'en 1995 – pour prendre un exemple typique de ce qui se passait avant – l'Île-de-France avait été totalement paralysée du 24 novembre au 15 décembre.