Or, jeudi dernier, la ministre de l'enseignement supérieur, Mme Valérie Pécresse, a annoncé que, si elle gagnait les prochaines élections régionales, le Grand Huit serait financé par un partenariat public-privé et que la région contribuerait à hauteur de 300 millions d'euros par an.
Alors, qui croire, si les membres du Gouvernement ne disent pas la même chose quant aux moyens de financer les transports publics, alors même que, en attendant, concrètement, il n'y a toujours pas un euro ? Je ne sais vraiment pas, mes chers collègues, comment nos concitoyens d'Île-de-France vont pouvoir continuer à prendre les transports publics.