Je rejoins la position du rapporteur sur ce dossier qui met à mal la préférence communautaire et la volonté de certains pays européens de garder des liens privilégiés avec leurs anciennes colonies. Je constate que ce problème devient de plus en plus difficile avec l'élargissement de l'Union européenne.
Faut-il, dans ce domaine, invoquer la préférence communautaire dans la mesure où nos producteurs sont soumis à une concurrence mondiale qui ne supporte pas les mêmes contraintes ?