Monsieur le président, permettez-moi de savourer cet instant : de tout ce que l'on pouvait imaginer, on touche le sommet... Si je comprends bien le débat, tout le monde s'accorde sur le fait que le texte devrait plutôt être rédigé tel que nous l'avons proposé. Nous étions même prêts à en faire un délit, surtout en cas de récidive. Nous avions présenté des amendements en ce sens, mais qui ont été refusés en commission.
Tout le monde est pour, y compris le rapporteur et très certainement aussi l'ancien maire de Mulhouse. Malheureusement, pour des raisons purement idéologiques, vous ne supportez pas que l'opposition ait pris l'initiative de proposer une telle mesure et qu'elle soit depuis quelques mois, sur ces sujets-là, plus offensive que vous.