Il rétablit la portée du principe de parité voulu par le législateur de 1959 et contribue ainsi au respect du principe de la laïcité de l'État. Le Conseil constitutionnel chargé d'examiner la loi du 13 août 2004 n'a d'ailleurs soulevé aucun élément susceptible de mettre en doute la constitutionnalité de ce dispositif.