Moi aussi, monsieur le président, je pensais qu'il y aurait une suspension de séance.
Notre amendement vise à supprimer l'article 3 bis dont on ne sait ce qu'il vient faire dans cette proposition de loi.
À l'évidence, il s'agit d'un cavalier législatif surprenant. Il empêche en outre nos collègues de la région parisienne de participer à un débat qui les intéresse au premier chef, davantage en tout cas que ceux qui sont présents ici, car ils sont plus au fait de la question.