La dernière raison est une raison de sagesse. Je l'ai dit tout à l'heure : que cela nous plaise ou non – et cela n'a pas vraiment plu au monde laïque, dont nous sommes – les lois Debré ont instauré le principe que l'équilibre devait être préservé entre l'enseignement privé et l'enseignement public. De ce point de vue, cette disposition est dangereuse en ce qu'elle rallume la guerre scolaire.