La deuxième décision a consisté à décider d'arrêter net le développement des UTEQ qui, bien que représentant une forme de retour à un travail de sécurité et de proximité, étaient loin d'être la panacée puisqu'il s'agissait essentiellement de saupoudrer quelques effectifs de ci de là. Toujours est-il que ce dispositif, à peine créé, début 2008, est supprimé fin 2009, alors même que Nicolas Sarkozy avait annoncé, précisément le 18 mars à Gagny, l'accélération du déploiement de cent UTEQ qui ne verront donc jamais le jour.