En quoi le dispositif proposé se différencie-t-il du volontariat associatif qui n'a pas réellement fonctionné ? Est-ce que le service civique pourra être pris en compte dans le cursus des étudiants qui ont une obligation de mobilité ?
En ce qui concerne la formation citoyenne, ne craignez-vous pas de vous heurter à des difficultés logistiques pour accueillir un nombre de conséquent de jeunes si vous organisez des sessions régionales ?
Je m'interroge enfin sur l'avenir du dispositif. Pour « Défense deuxième chance », il avait été fait état d'un objectif de 20 000 jeunes par an et nous n'avons jamais dépassé les 2 500 volontaires annuels. Le service civique ne risque-t-il pas de connaître le même sort ?