Je vous remercie de l'avoir rappelé, madame Rosso-Debord.
Nous reprocher d'avoir supprimé la taxe professionnelle, c'est quand même faire preuve d'une certaine audace, car il n'en restait plus que la moitié, puisque vous aviez déjà fait l'essentiel du chemin. Dans ce genre d'affaire, ce qui compte, c'est de commencer. Nous n'avons fait que finir le processus que vous aviez entamé, en supprimant ce très mauvais impôt.