En effet, dès lors que vous supprimez l'acceptation expresse – à la suite, semble-t-il, de pressions exercées par la profession –, le consommateur doit au moins savoir si ce qu'il va recevoir correspond bien à ce qu'il a commandé. L'information doit donc porter sur le bien ou le service commandé.
Monsieur le rapporteur, je souhaite vivement que vous nous apportiez cette précision, afin que les consommateurs, comme nous-mêmes, sachent à quoi s'en tenir.