Toutefois, pour bien connaître mes collègues Yves Censi, Antoine Herth et Georges Colombier, j'ai pu mesurer la difficulté avec laquelle ils ont exprimé leur position. Leur démonstration, selon laquelle il ne serait pas possible de voter ce texte en raison du problème que pose son financement, tournait en rond. (« Au revoir, monsieur Cahuzac ! » sur les bancs du groupe UMP.)