Je suis désolé si j'ai choqué d'autres collègues qui se sentent également moins expérimentés que M. Méhaignerie.
Quoi qu'il en soit, je rappelle à M. Herth et à Mme la secrétaire d'État que, lorsque des parlementaires décident d'augmenter la charge publique, ils n'ont pas d'autre choix que de gager cette dépense. Ainsi, depuis 1958, tous les parlementaires, de quelque bord qu'ils soient, ont toujours gagé les mesures d'augmentation de la dépense publique qu'ils proposent par une augmentation des droits sur les alcools et les tabacs.