Lors de mon intervention au cours de la discussion générale, j'ai insisté, comme d'autres, sur le fait que les jeunes filles étaient souvent plus diplômées que les garçons à l'issue de leurs études, mais que le problème de l'orientation demeurait entier, les filières qu'elles empruntent ne leur permettant généralement pas d'accéder à des postes de responsabilité.
Je suggère donc que cette proposition de loi commence par un article permettant la création d'un service public de l'orientation, lequel aurait pour objectif prioritaire de soustraire les études des jeunes filles à tout sexisme.