Monsieur le Premier ministre, le 30 décembre dernier, deux journalistes de France 3 et leurs accompagnateurs étaient enlevés en Afghanistan. Tous ici, comme dans l'ensemble du pays, s'accordent à considérer cet événement comme dramatique.
Mais cela n'a pas, semble-t-il, ému le secrétaire général de l'Élysée, qui ne conçoit probablement le journalisme qu'aux ordres. M. Guéant…