Je voudrais revenir sur l'occasion manquée dans les Émirats. On a mis en cause le pilotage du dossier, le coût de l'EPR, sa taille qui n'était pas adaptée à la demande des Émirats, certains retards à Flamanville ou en Finlande. Quelle est votre analyse de cet échec ?
Où en êtes-vous avec votre actionnaire Siemens, qui a bien du mal à sortir du capital ? L'affaire ne peut-elle être tranchée que par la justice ?