Les bons ne permettent pas d'identifier les pathologies dont souffrent les personnes, ni le degré de priorité qui leur est affecté. Il nous est donc impossible de croiser les informations liées à ces bons, qui ne couvrent d'ailleurs probablement pas la totalité des personnes à risque, car ils concernent essentiellement celles qui souffrent d'affections de longue durée (ALD). Les personnes à risque ont été incitées à se faire vacciner par l'intermédiaire des bons ou, pour celles qui ne souffraient pas d'ALD, par une information spécifique. Nous ne pouvons donc pas encore répondre à la question de connaître la proportion de personnes à risque qui se sont fait vacciner.