Quels pourraient être les contours d'une nouvelle politique du spectacle vivant, du point de vue de l'État ? L'évolution constatée conduit, à terme, à un transfert de cette politique vers les régions. Le régime des intermittents du spectacle demeure le principal outil d'intervention de l'État, sans doute le plus efficace. Le Rapporteur spécial a-t-il une idée de ce que pourrait être, à horizon de 10-15 ans, un paysage simplifié ? On peut imaginer que l'État continue à intervenir pour aider certaines équipes artistiques ayant un rayonnement national. Il me semble qu'il a cependant de moins en moins sa place dans le domaine du spectacle vivant.