Les centrales thermiques rejettent en effet ce qu'on appelle de la mauvaise chaleur, de l'eau à environ 30 degrés. La piste que vous évoquez a déjà été étudiée plusieurs fois. La problématique consistant à gagner quelques dixièmes de points sur le rendement de Carnot cède cependant devant celle du nécessaire équilibre économique de cette filière, si elle devait naître. Les réalisations sont donc subordonnées à la conduite d'études de faisabilité des gestionnaires de réacteurs et de leur éventuelle clientèle de proximité. Pour autant, la priorité des mois et années qui viennent reste l'augmentation du taux de disponibilité.