Nous avons été très proches de l'optimum dans les années 2005-2006, avec des taux de disponibilité supérieurs à 83 %. Pourtant, dès cette époque, compte tenu des perspectives de durée de vie de nos installations, nous avons décidé d'investir massivement dans le parc, ce que nous continuons actuellement à faire. Simplement, ces investissements prennent un certain temps. Il s'agit donc avant tout d'un problème de réponse du tissu industriel, et non de passation de marché.