Ils omettent délibérément les coûts d'une redistribution fiscale fondée sur des prélèvements confiscatoires, j'entends la perte d'emploi, l'affaiblissement de la capacité d'innovation dans notre pays, ou encore l'exode fiscal. Nous avons besoin, mes chers collègues, de l'arbitrage des acteurs économiques et des Français qui le peuvent pour soutenir notre économie. Si je devais prendre un seul exemple, ce serait celui du financement des petites et moyennes entreprises qui ont besoin de cet arbitrage.