Monsieur Martin, vous avez évoqué la diplomatie française.
Dans cette enceinte, il y a plusieurs mois déjà, je vous ai dit que le processus traditionnel de l'ONU, qui exige l'unanimité, ne permettrait pas d'aboutir à un accord, mais qu'il faudrait que la magie opère à Copenhague et que les chefs d'État et de gouvernement y soient physiquement présents. Jusqu'ici, ce ne fut jamais le cas. Nous y sommes parvenus grâce au président français (Rires et exclamations sur les bancs du groupe SRC. –Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Si la France ne l'avait pas souhaité, si la France n'avait pas été présente…