Madame la présidente, monsieur le ministre, je crois que le texte dont nous venons de débattre est bon.
C'est un bon texte, car il recèle une vraie volonté de mesure, d'équilibre, d'égalité devant la loi. Les droits ne vont jamais sans devoirs. Et, en renforçant la protection des sources des journalistes et la sécurité juridique qui entourent certains actes les concernant, en matière de perquisition ou d'écoute téléphonique, nous réaffirmons notre souhait d'un journalisme sans entrave. Comme je l'ai dit tout à l'heure, en soulignant que dans certains cas ce principe ne peut être invoqué, nous avons rappelé dans ce débat notre volonté d'un journalisme citoyen et responsable.
Liberté et responsabilité sont deux socles qui devraient toujours soutenir, en permanence, le monde des médias. Le Président de la République s'y était engagé en 2007.