Pour le démontrer, je reprendrai trois dispositions de votre texte.
Tout d'abord, l'encadrement beaucoup plus strict des licenciements pour motif économique. « Eh oui ! » sur plusieurs bancs du groupe GDR.) Dans ce domaine, nous devons la vérité aux Français : nous préférons une entreprise qui se sépare de certains salariés lorsqu'elle y est obligée à une entreprise en liquidation qui licencie tout le monde et aura disparu après la crise !