Madame la présidente, le terreau propice au développement du terrorisme est souvent la misère. Or de même que dans nos pays occidentaux l'investissement en matière de santé va davantage aux soins qu'à la prévention, on a tendance à combattre le terrorisme par des moyens militaires plutôt que de s'attaquer à ses causes afin de l'empêcher de prospérer. Vous avez évoqué vos attentes en la matière, mais pourriez-vous préciser ce que nous pourrions vous apporter ?
Par ailleurs, quel est votre regard sur le sommet de Copenhague ?
Enfin, comment voyez-vous les prochaines discussions aux Nations unies sur le réexamen du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) ?