Notre groupe s'élève avec vigueur contre la tenue concomitante d'un débat en séance plénière sur un sujet qui nous intéresse au premier chef, et de l'audition du ministre des affaires étrangères par notre Commission. Je n'ai pas souvenir que cette situation inacceptable se soit jamais produite. Devrions-nous être doués d'ubiquité ? Ceux de nos collègues qui sont en séance plénière et qui auraient voulu interroger le ministre ne pourront le faire, cependant que les membres de notre Commission ici présents ne pourront participer au débat relatif au prochain Conseil européen. Un tel épisode doit demeurer une exception.