…et que si ces paliers ne sont pas atteints, nous serons en mesure de faire évoluer notre stratégie. Voilà une des conclusions auxquelles devrait parvenir la conférence de Londres.
Vous vous accordez tous par ailleurs - Axel Poniatowski, Henri Plagnol, Jean Glavany, Jean-Paul Lecoq, Michel Voisin – pour reconnaître que la solution n'est pas militaire. Bien entendu, elle n'est pas militaire ; bien entendu, notre présence militaire, dont l'objectif est de sécuriser et de stabiliser les vallées afghanes, doit s'accompagner de la construction de ponts, de routes, d'écoles, pour que les Afghans réalisent eux-mêmes qu'elle se traduit par une amélioration de leur situation collective et personnelle.