Votre projet de loi marque l'abandon progressif du service public de la poste, transféré à des dizaines et des dizaines de filiales aux statuts transformés, pour livrer le secteur postal au secteur capitalistique.
Aujourd'hui, vous continuez à diffuser un mensonge d'État sur la non-privatisation de La Poste. L'exemple de France Télécom – vous avez raison de dire que ce n'est pas vous qui avez commencé… (« Ah ! » sur les bancs du groupe UMP.)