J'ai ensuite demandé aux recteurs de mettre à la disposition des universités des locaux disponibles, de façon que cours et examens puissent s'y tenir en toute sérénité.
Enfin, nous ne transigerons pas avec la valeur des diplômes. Les recteurs sont les garants de l'application de la loi. Nous prendrons le temps qu'il faudra pour les rattrapages. D'ores et déjà, une vingtaine d'universités ont prévu d'organiser ces examens jusqu'en septembre.
Vous avez raison, monsieur le député : les consultations directes par Internet ont toutes donné, ces dernières semaines, le même résultat : les étudiants sont en majorité contre les blocages.