D'une certaine manière, c'est déjà un peu ce que nous faisons. Le plan de relance est déjà bien isolé au sein d'une mission spécifique du budget de l'État. En ce sens, sa contribution à la dette pourra être immédiatement et facilement évaluable. Dans sa présentation, Éric Woerth a toujours pris soin de distinguer le déficit lié au fonctionnement normal de l'État et la dette liée au plan de relance.
Monsieur Gorce, vous avez longuement évoqué la question européenne. J'avoue ne pas très bien vous comprendre.