Détrompez-vous, j'ai pu m'exprimer.
On peut d'abord, disais-je, aborder ce débat de façon équilibrée, à l'image du président du groupe Nouveau Centre à l'instant. Qui peut en effet contester que jamais autant de droits n'avaient été donnés à l'opposition ?
N'y voyez aucune attaque personnelle, monsieur Ayrault – je m'adresse d'ailleurs à tous les députés socialistes –, mais, de 1997 à 2002, quels nouveaux droits aviez-vous donnés à l'opposition ? Vous n'avez modifié le règlement qu'une seule fois ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)