Il ne s'agit pas d'affaiblir le fait majoritaire, que personne ne songe à contester, mais pour faire en sorte que chacun puisse s'exprimer et participer au débat démocratique. C'était la question qui nous était directement posée.
Au président de l'Assemblée nationale, j'ai demandé que le droit d'initiative parlementaire – nous pouvons inscrire trois fois plus de propositions qu'auparavant – ne soit pas concentré sur une journée, mais réparti dans le temps.