…de même que l'ONDAM, ce qui était en soi une performance. Reste que, évidemment, la crise a pesé sur les recettes dès 2008, comme je l'ai clairement indiqué à la représentation nationale.
Je ne sais pas ce qui, de votre discours ou de la réalité, est le plus surréaliste, monsieur Emmanuelli ; évitons, quoi qu'il en soit, de nous lancer des mots à la figure. Les 60 milliards de déficit liés à la crise correspondent, en définitive, au chiffrage de l'ensemble du plan de relance, ce qui n'est pas rien pour l'État français.