Je ne la partage évidemment pas ; j'ai déjà dit ce que j'en pensais, ainsi que des observations de François de Rugy.
Quant à Michel Bouvard, c'était nettement mieux. (Sourires.) La résistance de nos finances publiques à moyen terme nous préoccupe beaucoup, qu'il s'agisse de la gestion des déficits, de l'innovation dans les plans de relance, de leur pertinence, de leur justice, ou, point essentiel, de la protection de la qualité de la signature de notre pays à court et moyen terme.
S'agissant des relations entre l'État et les collectivités locales, monsieur Carcenac, vous noircissez un peu le tableau.