Monsieur le président Copé, dès le début cette crise, j'ai dit que le prix payé pour la livraison du mois d'avril aux éleveurs était insupportable. J'ai dit également qu'il n'était pas normal que des producteurs livrent leur lait pendant un mois et demi sans en connaître le prix à l'avance. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.)