Nos collègues socialistes ont largement démontré tout à l'heure les liens étroits qui unissent ceux qui auront à gérer ces organismes au Président de la République, dont ils sont aussi les amis proches – et ceux de l'UMP, bien sûr.
Sur la question de la moralisation, enfin, je suis effaré de vous entendre comparer les salariés à qui l'on refuse une augmentation de salaire de 0,3 % aux chefs d'entreprise, dont le mérite doit leur permettre de partir avec 300 ou 400 millions et 150 % d'augmentation !
Je pense que la représentation nationale devrait avoir honte de ce que vous venez de dire.