…sans que l'on ait daigné consulter les citoyens européens. Ces personnages, choisis par les États au terme de marchandages politiciens allant à l'encontre de l'intérêt général, demeureront, n'en doutons pas, les instruments de ceux qui les ont nommés.
Avec une Union lestée d'un président du Conseil favorable à la liberté du marché et d'une représentante extérieure britannique qui a soutenu la guerre en Irak, l'espoir d'une Europe au service des peuples semble durablement enterré. Les députés communistes et républicains, quant à eux, continueront de défendre ce principe. (Applaudissements sur les bancs du groupe GDR.)