Merci, monsieur Sandrier, notamment pour le ton qui est le vôtre, qui sied à nos débats.
Tout à l'heure, notre collègue Mamère a commencé son intervention dans le calme, puis un brouhaha assez fort, c'est exact, s'est élevé, et il a décidé lui-même, vous l'avez entendu comme moi, de renoncer à poser sa question. S'il l'avait posée complètement, il aurait évidemment eu une réponse. On ne peut que regretter ce qui s'est passé.
Quant à ce que peuvent exprimer les uns ou les autres, il ne m'appartient pas de le commenter depuis le fauteuil que j'ai l'honneur d'occuper.
La parole est à M. François Rochebloine, à qui je demande de contribuer à la sérénité des débats.