Madame la ministre, monsieur le ministre, j'ai souhaité prendre la parole pour vous parler de notre malheureuse Aquitaine et de la tempête Klaus qui s'est abattue sur elle, mais je ne peux pas non plus passer complètement à côté du collectif budgétaire.
À propos de ce dernier, monsieur le ministre, vous ayant écouté avec attention cet après-midi, je tiens à dire que j'ai trouvé votre exposé assez surréaliste. Cela tient tout d'abord aux thématiques : les riches et les pauvres – il y aurait ceux qui aiment les riches et ceux qui les détestent, ceux qui aiment les pauvres – tout le monde aime les pauvres, d'ailleurs –…