J'ai presque terminé, monsieur le président.
La coopération franco-britannique permettrait de partager le poids financier des études amont et de faire des économies grâce au partage des coûts de développement, d'essais et de qualification, d'acquisition d'équipements, du soutien en phase d'utilisation, de MCO et de formation. En outre, l'impact industriel serait important au plan national comme au plan européen : 2 400 emplois directs sur sept ans et demi et la fourniture d'un million de pièces différentes par un millier d'entreprises partenaires.