Je termine, monsieur le président.
J'imagine que vous avez une confiance absolue dans le travail qui a été fait. Ce n'est pas notre cas, à cause précisément de cette affaire de la scientologie.
Pour commencer, nous n'avons toujours pas d'information sur ce qui s'est réellement passé. Il n'est pas normal que nous, députés, n'ayons pas des éléments d'information sur la manière dont cet article est arrivé et a été adopté par l'Assemblée nationale.
Ensuite, comme M. Urvoas, j'insiste sur le fait que le recours à un cabinet privé nous inquiète beaucoup pour deux raisons…