Le propos qui vient d'être tenu recèle bon nombre d'incohérences. Nous sommes tous d'accord pour constater que la France, comme d'autres pays dont les régimes parlementaires sont reconnus, souffre de ce que l'on appelle une crise de la loi. Mais enfin, cher collègue Clément, que nous proposez-vous pour y remédier ?
Premièrement, votre critique porte sur le fait que ce texte « embrasse trop », qu'il comporte 157 articles, que vous n'avez pas eu le temps de l'étudier. Or jamais sans doute nous n'avons réalisé en commission un tel travail, aussi précis et méticuleux.