Cela n'a rien à voir avec la situation sous la IIIème et la IVème République.
Pour conclure, j'ajoute qu'il faut maintenir le délit d'offense au chef de l'État car, aujourd'hui, les moyens dont disposent ceux qui le commettent sont beaucoup plus importants qu'il y a seulement quelques années – cela est d'ailleurs vrai pour les offenses envers tous nos concitoyens.
Finalement, je trouve que ce débat, un peu surréaliste, est, du côté de nos collègues de l'opposition, empreint de beaucoup de démagogie.
(Les amendements identiques : 145, 151,147,152 et 153 ne sont pas adoptés.)