Le rapporteur a rappelé à juste titre que le délit d'aide au séjour est le seul moyen que nous ayons pour lutter contre ces filières criminelles. Il n'est donc pas question de le remettre en cause.
Quant à la circulaire du 20 novembre, qui prévoit une immunité pour l'aide humanitaire, elle vise à encadrer des décisions qui restent placées sous le contrôle du juge.