J'adhère aux propositions de Patrice Martin-Lalande. Le sous-amendement que j'ai déposé vise à concilier deux objectifs. Il faut en effet soutenir le développement économique de ce secteur, à un moment où le média radio est en effet confronté à un certain nombre de défis – et je partage ici les analyses de M. Martin-Lalande – tout en évitant de trop importants bouleversements, qui pourraient atteindre les radios indépendantes, afin de garantir le pluralisme du paysage radiophonique.
Il faut aussi se garder une réserve, à la suite des conclusions du rapport Tessier sur la radio numérique, qui nécessitera des investissements et donc des discussions avec le secteur.
Je propose donc de fixer plutôt un seuil de 180 millions d'habitants, pour en garder sous le pied, en quelque sorte.